Certaines
personnes pensent qu’un accident majeur (importantes vagues-submersion,
écroulement possible de falaises de la côtes malouine, digues éventrées)
n’était pas possible à Saint-Malo, que l’on peut construire partout sans danger
avec la technologie actuelle. Cette appréciation peut être similaire aux
pseudos scientifiques climatosceptiques contre la COP22 qui ne croyaient pas
aux conclusions du GIEC (Le Groupe d'experts intergouvernemental sur
l'évolution du climat créé en 1988 par l’ONU).
L’actualité
récente avec ces phénomènes climatiques dévastateurs, nous prouve bien le
contraire avec cet article du Ouest-France du 3 janvier 2018. La digue de la
plage du Pont éventrée.
Des
questions et non des affirmations :
Comment
une municipalité X ou Y responsable pourrait-elle laisser construire en toute
conscience un projet qui sera éventuellement exposé aux futurs aléas
climatiques, qui fragilisera des éléments naturels comme une falaise et
impactera de facto la sécurité ?
Exposer
des personnes à des dangers potentiels est-il moins important que de vouloir
construire à tout prix ?
Le
principe de prévention devra-t-il s’appliquer en l'occurrence ?
À
vous de faire votre opinion.
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